sábado, 7 de novembro de 2009

O pouco de cada um pode ser o muito de todos



Imagem:beija-flor tesoura.
Linda foto, do site:http://ednene.files.wordpress.com/2008/12/beija-flor-tesoura.jpg

Imaginem uma fronteira cheia de flores e verdes delimitando a Amazônia!

Vejam que lindo projeto!

Quando trabalhei no Hospital Júlia Kubtscheck, em Belo Horizonte, chegava de nelém (PA) e e encontrei um lindo projeto:a a comunidade do bairro chamado "Barreiro de Cima" queria cercar os limites do Hospital com uma horta comunitária.Fiquei encantada, depois vi que o assunto, trazido às reuniões, esbarrava com dificuldades burocrátics.Apesar de respeitar hieraquia, sempre protejo minha liberdade de ser, se esta exist em função do bem comum , do coletivo, da Paz.Então, chamei o Professor de Técnicas agrícolas aposentado , Lafayete Anastácio, quando consegui uma casa que fora dos antigos diretores do hospital, nos seus primórdios -o HJK fica dentro de um bosque e seria uma colônia de férias do SESC, mas o presidente Juscelino Kubtischeck, médico, ali fez um hospital de doenças pulmonares-hoje, pela Fundação Hospiralar de Mg-FHEMIG- um hospital geral.
Já que a grande horta não acontece, ponderei, vamos começar a ensinar aos adolescentes e crianças de nosso programa, a plantar...no quintal da casa da criança edo adoelscente-conforme o povo já chamava o SAISCA(Serviço de Atenção integral à Criança e ao adolescente). O resultado , incontestavelmente belo.Depois, saimos para outro tereno.Os jovens e as crianças, sob a orientação do professor Lafayete, que chegou a ir a Viçosa reciclicar-se, amavam aprender e levar para casa, alface, beterrabas, abobrinhas, a cada colheira.Pessoas vinham de longe conhecer o trabalho.A EMATER, chamada por npós ,foi e deu "nora dz" à compostagem.Meninos e meninas tinam agregado a seu vocabulário vercos como "escarificar" e sentiam-se importantes no nucleo familiar porque levavam alimento à mesa.As nutricionistas ajudavam na compreencão dos valores alimentares.Uma senhora jovem , da comunidade, Aparecida, encontrou sua alegria de viver naquela horta.
Então, os índios querem fazer o mesmo.Deve-se começar sempre pela própria aldeia, família, cidade, bairro..."Se cada um varrer porta de sua própria casa, o mundo inteiro ficará limpo, disse o pensador.
Pensado pelo pelo Yachaks (Xamã), Sabino Gualiga, um quechua, o projeto “Fronteira de Vida” visa criar, "sobre a circunferência do território de Sarayaku, de 300 kms de longo e 135.000 hectares de floresta primária de uma imensa fronteira de árvores ,flores e cores. "
Podem imaginar?
Lembro-me da história do beija flor,que ridicularizado ou mininmizado por tentar, gota a gota ´'água, apagar o incÇencio e uma floresta, disse que simplemente , fazia a sua parte.Se cada um fizer alguma coisa pela floresta amazônica, será a soma de todas as ações que a salvará...

Clevane Pessoa de Araújo Lopes

Embaixadora Universal da Paz.


Orange/France-Genéve, Suisse

Vejam a página anterior.


Leia mais em :http://www.bancodoplaneta.com.br/profile/ClevanePessoadeAraujoLopes e http://itaquaiara.blogspot.com (meu blog para assuntos indígenas ou textos escritos sobre eles)

No Ano da Drança no paris, rejubilo-me com essa iniciativa da França. Comentário de Clevane Pessoa de Araújo Lopes 1 segundo atrás Excluir comentário Leia a respeito em :
http://www.bancodoplaneta.com.br/profile/ClevanePessoadeAraujoLopes

http://itaquaiara.blogspot.com





Vous pouvez imaginee une vitrine pleine de fleurs et de verts délimitant en l'Amazonie! Ils voient que joli projet!

Quand j'ai travaillé à l'Hôpital Júlia Kubtscheck, a la ville " Belo Horizonte"(MG-Brasil), arrivait de Belém , (Pará-Bresil er j'ai trouvé un projet joli: la communauté du quartier que s'appele "; Barreiro d'au-dessus" ("Barreiro de Cima)- leurs habitants, la communauté du grand quartier , entourer voulait les limites de l'Hôpital avec un potager pour touts les citoyens.

J'ai été enchantée, ensuite que j'ai vu le sujet, apporte aux réunions, avec des burocrátics difficultés heurtait. Malgré de moi respecter la hieraquie, l'ordre établi là, toujours je protège ma liberté d'être, si celle-ci existe en fonction du bien commun, du collectif, de Paz.

Alors j' ai pensionné appelé l'enseignant de Techniques Agricoles, Lafayete Anastácio, quand ils ont réussi une maison que excepté anciens des directeurs de l'hôpital HJK, (que là ils vivaient, quand il a commencé tout), que est restèe à l'intérieur d'une petit forêt et serait une Colonie de Vacances de SESC, mais le président Juscelino Kubtischeck, le médecin,il a établi, um hôpital -un fait de là maladies pulmonaires, aujourd'hui, par la Fondation Hospitalar de Mg-FHEMIG- et aujourd'hui, un hôpital général.

Déjà pas un que potager un grand n'arrive, j'ai réfléchi, allons commencer técnicas enseigner des agricoles pour une Horticulture, potager , avec les enfants et adolescentes de notre programa, ... dans le potager de la Maison de l'Enfant adolescents ils comme l'appelaient la communauté du Quartier Barreiro, le peuple déjà appelait SAISCA (Service d'Intégrale Atenção à l'Enfant et à l'Adolescente).
Incontestéement le résultat, la beauté.

Encuite, après dans eux ils ont donné lieu un autre, plus grand que potager petit de la maison. Les enfants , les jeunes et avec les leçons affectueuses et excellentes de l'enseignant , que, pour savoir plus, il a voyagé `a la ville de Viçosa(UFMG), à l'Université, et faire cours de recyclag ils laitue aimaient apprendre et prendra pour maison, betteraves rouges,petits potirons, chacun en rassemblant les résultats son travail, pour lequel si deureux, durane quelque heure du jour,pour où, ils se dirigent, prés dessiner, chanter, - chacune des activités de la maison.

Des personnes venaient de loin connaître le travail. La EMATER, appelée par nous, a été et belle-fille . Um donné des Garçons et filles , ils déjà possédaient un vocabulaire nouveaux , Verbes non connus avant lequel :"escarificar", p ex.; - importants parce qu'aucun aliment a la table de repas de la familie prenaient noyau. Ils avait Aide et orientação des nutritionnistes del HJK,pour mieux comprender las necessiteèes alimentaires et des valeurs.

Une jeune femme , de la Communauté, Aparecida, a trouvé sa joie de vivre dans ce potager. Alors, les Indiens veulent faire le même. Il se doit toujours commencer par le village lui-même, la famille, la ville, le quartier ... "; Si chacun personne, citoyen, balaye la porte de sa propre maison, le monde entier propre sera il -soros", a dit le penseur.

Par ce Pensé par le Yachaks (Xamã),Sabino Gualiga, quíchua, le projet "; Frontière de Vida " : "sur la circonférence du Territoire de Sarayaku, de 300 kms al longo de 135,000 hectares de forêt primaire frontière d'une immense d'arbres, de fleurs et de couleurs "

Vous peuvent imaginer ? Vous peuvent imaginer? Je me rappelle de l'histoire de le petit colibri , auils quel ont demandé dont il avancerait prendre de petites gouttes d' ; eau à l'incêncio dans une forêt, gouttes et gouttesd'eau, pour effacer le feu d'une forêt, Il a simplement répondu : "-Je fais ma partie, mon Obligation personnelle, par tous, par tout". Chacun de nous doit faire sa partie, . Si chacun de nous fait ce qui c'est possible par la Forêt Amazonienner , elle sera de toutes les ações un sauvera lesquelles ...

Clevane Pessoa de Araújo Lopes
Ambassadrice Universelle de la Paix (Brésil)

Orange/France-Genéve, Suisse

Amazonia-Povos indígenas Kichwa , sarayaku, em Paris-Fr-13 a 14 de novembro de 2009-Amazonie - Peuple indiens Kichwa de Sarayaku - Paris - Rencontres


Imagen:Shaman(xamã) Kichwa-Sabino Gualinga.
Fonte:
http://www.loudematteis.com/ecuador-3/kichwa-shaman-sabino-gualinga-in-sarayaku-g_108.jpg


]
Fonte da imagem:http://www.yesmagazine.org/images/issues/85/44SOL_Sarayaku.jpg



Bài kexà!
Sarava!





De : Corinne Arnould | Paroles de Nature

Envoyé le : Mer 4 Novembre 2009, 17 h 07 min 04 s

Objet : INVITATION : Amazonie - Peuple indiens Kichwa de Sarayaku - Paris - Rencontres du 13 au 24 novembre 2009


N'hésitez pas à diffuser l'information autour de vous. Merci
Conférences-Projection-Rencontres exceptionnelles
En présence de José GUALINGA & Tupak VITERI, Amazonie Equatorienne

Vendredi 13 novembre - 17h30 - Espace DUPONT, Paris 18 e
Samedi 14 novembre - 15h00 - Karma Ling, Arvillard, Savoie (73)
Lundi 16 novembre - 20h30 - Maison de l'Amérique Latine, Paris 7e
Jeudi 19 & Lundi 23 - 17h30 - Cinéma La Pagode, Paris 7e
Mardi 24 novembre - 19h00 - Amnesty International, Paris 19 e

L’esprit de la lutte: Sarayaku, un peuple contre le pétrole
« Nous, nous demandons si un peuple petit comme le notre peut changer le monde.
Peut-être pas !
Mais nous sommes sûr que dans chaque cœur, il y a un peuple qui lutte avec la même force
et si petit soit-il, nous sommes le symbole de la puissance de la vie. »

José Gualinga, Peuple Kichwa de Sarayaku Amazonie équatorienne


La déforestation est une réalité quotidienne pour les dernières communautés indiennes d’Amazonie : elle représente la mort de leur milieu de vie et la fin de leur culture. Parmi les causes, figure en bonne place l’exploitation du pétrole.

Face à l’avancée des compagnies le peuple indien Kichwa de Sarayaku, en équateur, a choisi de faire face. Depuis plusieurs années, il refuse obstinément toute pénétration sur son territoire afin de préserver son héritage naturel et culturel. Le projet de ce peuple a ainsi une portée universelle ; son ambition est la valorisation de ses traditions, de son mode de vie, de ses croyances, de sa culture...


Les menaces persistent : le 8 mai 2009, le Ministère des Mines et du Pétrole Equatorien a notifié dans la résolution n°080-CAD 2009-04-20 la reprise des opérations d’exploitation des hydrocarbures dans les blocs 23 et 24 incluant les territoires du peuple Kichwa de Sarayaku et des communautés Achuar et Shuar de la Région Amazonienne.
Inspiré par les Yachaks (Chamanes), le projet « Frontière de Vie » est la création sur le pourtour du territoire de Sarayaku, 300 kms de long et 135 000 hectares de forêt primaire d’une immense frontière d’arbres à fleurs de couleurs. Un symbole à valeur universelle émergera ainsi lentement de la forêt amazonienne, vivante incarnation du désir universel de paix et de protection de la Terre. Ce sera le message de tout un peuple, élan vital, expression de sa volonté farouche de préserver son mode de vie, mais aussi, de créer avec nous une vaste solidarité planétaire.
Deux de ces représentants, dont José Gualinga sous protection d’Amnesty International, après avoir été plusieurs fois mis en danger de mort lors des luttes contre les compagnies pétrolières, seront en France du 12 au 24 novembre 2009. Plusieurs rencontres "conférence-projection" auront lieu.
Réservation et Programme, merci d'écrire à sarayaku@paroledenature.org www.parolesdenature.org | www.frontieredevie.org


Dossier de Presse sur simple demande : presse@paroledenature.org

L’Amazonie, dernier lien entre l’homme et la nature ?


Une analyse réaliste de l’évolution des perspectives politiques et démographiques actuelles concernant les forêts primaires tropicales aboutit à la triste conclusion que, si rien n'est fait, leur destruction généralisée est, à terme, inéluctable. L’exploitation forestière forcenée et l’extension de l’agriculture en sont les principales causes. Le déplacement et l’acculturation programmée des peuples autochtones, fins et légitimes connaisseurs des écosystèmes forestiers, nous prive du précieux savoir dont ils sont détenteurs.

Dix à vingt millions d’hectares de forêt amazonienne disparaissent chaque année. Disparition sans retour, car on ne sait pas reconstituer un écosystème forestier complexe.

Les peuples de la forêt sont les premières victimes de la destruction de leur environnement. Autrefois nomades, chasseurs et cueilleurs, leur prélèvement sur les ressources naturelles s’est toujours inscrit dans le respect des équilibres vitaux. Aujourd’hui, la modernité arrive avec tout le cortège des maux de notre civilisation.

Perte d’identité, acculturation, alcoolisme, dislocation des cellules familiales et sociales sont ainsi devenu les maux quotidiens des hommes de la forêt. Quelques uns, cependant, ont décidé de réagir et de construire.

En attendant une prise de conscience globale de l’importance vitale que revêt la préservation des forêts primaires et des cultures qu’elles abritent, les initiatives de sauvegarde de ces patrimoines émanent d’associations qui luttent pour ne pas laisser se rompre les fils qui relient l’homme à la nature. Leur mission est d’importance.

Peut-être, grâce aux associations citoyennes, verrons-nous un jour un chamane amazonien couronné par un prix Nobel, au nom de sa tribu et de ses ancêtres, pour l’ensemble de ses connaissances botaniques et la sagesse des relations écologiques qu’il entretient avec son milieu. www.parolesdenature.org


Le projet d’un peuple :
• Sarayaku, peuple de l’Amazonie équatorienne, lutte depuis 20 ans contre la destruction de son territoire et de sa culture par les compagnies pétrolières

• Leurs droits élémentaires sont bafoués: violences extrêmes contre les personnes, destruction du territoire,…

• Leur situation est emblématique des enjeux du pétrole : jusqu’où sera t-on capable d’aller pour sauvegarder notre mode de vie ?


• Ses dirigeants sont placés sous protection d’Amnesty International ; la cause de Sarayaku a été validée par la cour Inter-Américainedes droits de l’homme


• Le projet de ce peuple a ainsi une portée universelle ; son ambition est la valorisation de ses traditions, de son mode de vie, de ses croyances, de sa culture

Nous remercions, tous ceux sans qui ces rencontres ne pourraient pas avoir lieu : Fondation France Liberté, Festival International du Film de l'Environnement, Natureparif, Amnesty International France, Lupuna Association, La Maison de l'Amérique Latine, Karma Ling, l'Espace Krajcberg et tous les parrains de la Frontiére de vie et tous les bénévoles...


Veuillez nous excusez si vous recevez ce mail en double exemplaire. Pour vous désinscrire écrivez nous simplement à sarayaku@parolesdenature.org avec "désinscrire" en objet. Bonne journée.

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Não hesitem em difundir a informação a seu redor. Obrigado

conferência-projecção-Encontros excepcionais

Na presença de José Gualinga & Tupak VITERI, Amazônia Equatoriana

Sexta-feira 13 de Novembro - 17:30 - Espaço Dupont, Paris 18.O Sábado 14 de Novembro - 15:00 - Karma Ling, Arvillard, Savoie (73) Segunda-feira 16 de Novembro - 20:30 - Casa de l 'América Latina, Paris 7.a Quinta-feira 19 e Sexta-feira 23 - 17:30 - Cinema Pagode, Paris 7.o Terça-feira 24 de Novembro - 19:00 - A Anistia Internacional, Paris 19.o

O Espírito da Luta: Sarayaku, um povo contra o petróleo "Nós, indagamos se um povo pequeno como o nosso pode alterar o mundo. Talvez!


Nós estamos certos.
Mas em cada coração, há um povo que luta com a mesma força e é tão pequeno, somos o símbolo da potência da vida. "

"José Gualinga, Povo Kichwa de Sarayaku Amazónia equatoriana
***
O desflorestamento é uma realidade diária para as últimas representantes de comunidades Indianas Amazônia: a morte do seu meio de vida eo fim da sua cultura. Entre as causas, figura um bom lugar em Exploração do Petróleo.

Em face do Progresso das Companhias O Povo Indiano Kichwa de Sarayaku, no Equador, escolheu fazer.

Desde vários anos, recusa obstinadamente qualquer penetração sobre o seu Território um fim de preservar uma sua herança natural e cultural. O projeto deste povo tem assim um alcance universal; A sua ambição é a valorização das suas tradições, o seu modo de vida, como suas crenças, a sua cultura ...

As ameaças persistem: o 8 de Maio de 2009, o Ministério das Minas e o Petróleo Equatoriano notificou na resolução n°080-CAD 2009-04-20 a retoma das operações de exploração dos hidrocarbonetos nos blocos 23 e 24 que incluem os territórios do povo Kichwa de Sarayaku e das comunidades Achuar e Shuar da Região Amazónica.

Inspirado pelo Yachaks (Chamã), projeto “Fronteira de Vida” é a criação sobre a circunferência do território de Sarayaku, de 300 kms de longo e 135.000 hectares de floresta primária de uma imensa fronteira de árvores ,flores e cores.

Um símbolo à valor universal emergirá assim lentamente da floresta amazónica, viva encarnação do desejo universal de paz e protecção da Terra. Será a mensagem um toda uma povo, impulso vital, expressão da sua vontade selvagem de preservar o seu modo de vida, mas também, de criar connosco vasta uma solidariedade planetária.

***

Dois destes representantes, dos quais, José Gualinga , sob Protecção de Anistia Internacional, após ter sido várias vezes posto em perigo de morte quando das lutas contra as petroleiras Companhias, estarão na França do 12 ao 24 de Novembro de 2009.

Vários encontros "conférence projeção" terão lugar. Reserve e programe, obrigado .

www.parolesdenature.org sarayaku@paroledenature.org

escrever à |www.frontieredevie.org

Processo de Imprensa um simples pedido: presse@paroledenature.org

***


A Amazônia, última relação entre o homem e a natureza?

"Uma análise realista da evolução das políticas e perspectivas demográficas atuais reltivas às florestas tropicais primárias conduz à triste conclusão de que, se nada for feito "haverá sua destruição generalizada, à prazo, inegávelmente.

A Exploração Florestal forçada a extensão da agricultura são as principais causas. O deslocamento e a aculturação programada dos Povos autóctones, últimos e legítimos conhecedores dos Ecossistemas Florestais, priva-nos se seu saber precioso do qual são suportes. Dez a vinte milhões de hectares de floresta amazônica desaparecem cada ano. Desaparecimento sem regresso, complexo porque não se sabe reconstituir um ecossistema florestal.

Dez a vinte milhões de hectares de floresta amazônica desaparecem cada ano. Desaparecimento sem regresso, complexo porque não se sabe reconstituir um ecossistema florestal.

Os Povos da Floresta São as primeiras Vítimas da destruição do seu ambiente. Anteriormente nômades, caçadores cueilleurs e, a sua cobrança sobre os recursos naturais sempre inscreveu-se no respeito dos equilíbrios vitais. Hoje, com qualquer modernidade chega cortejo dos mais da nossa civilização.

Perda de identidade, aculturação, alcoolismo, deslocamento das células familiares e sociais tornaram-se se assim os mais diários dos Homens da floresta.

Alguns, no entanto, regiram, decidiram reconstruir. Esperando uma tomada de consciência que Importância da Global vital reveste uma preservação das florestas primárias e as culturas que protegem, como iniciativas de salvaguarda - destes emanam patrimónios de associações que lutam para não deixar que se aquebrantem os filhos que ligam o homem à natureza. A sua missão é de suma importância.


Talvez, graças às associações cidadãs, verão um dia, um xamã amazónico laureadodo por um prémio Nobel, em nome de sua tribo tribo e os seus antepassados, para o conjunto dos seus conhecimentos botânicos e a sabedoria das relações ecológicas que mantém com o seu meio.

www.parolesdenature.org (Palavras da Natureza)

O projeto de um povo:

Sarayaku, Póvoa da Amazonia equatoriana, luta há 20 anos contra a destruição do seu Território e de sua cultura pelas Companhias Petroleiras •

Os seus direitos elementares são violentados : violências extremas contra eles enquanto pessoas, destruição do seu Território ... • A sua situação é emblemática dos desafios do Petróleo: até onde serrmos capazes de irmos para salvaguardar o nosso modo de vida?

• Os seus líderes são colocados sob Proteção de Anistia Internacional e uma causa de Sarayaku -InterAméricanos -foi validada pelo tribunal de direitos do Homem •

O projeto deste povo tem assim um alcance universal . A sua ambição é a valorização das suas tradições, o seu modo de vida , conforme suas crenças, da sua cultura .


Agradecemos, todos aqules sem os quais estes encontros não conseguiram ter lugar: Fundação Liberdade França, Festival Internacional do Filme Ambiente de l ', Natureparif, a Anistia Internacional França, Lupuna Associação, a Casa de l' Amérique Latine, Karma Ling, o Espaço Krajcberg e todos os padrinhos da fronteira e da vida de todos os voluntários ...
Desculpem se receberam este mail duplamente. Para vocês , que não o desejarem , nastam descadastrar-s simplesmente a sarayaku@parolesdenature.org com "désinscrire ", "descadrasr, no assunto.

Bom dia. "